lundi 3 décembre 2012

Noël, Elliott le dragon, Candy Crush et les joies de la fac ( encore..)

L'heure est grave chers amis.
Je n'écris plus.
Non je n'y arrive plus, je suis en perte totale d'inspiration.
Mais bon, je vais quand même vous faire un bref résumé de ma vie, pour que vous en restiez pas sur le bord de la route.

J'ai ouvert mes 3 premiers chocolats de mon calendrier de l'Avent et j'étais en transe. Il faut que vous sachiez que je suis une fan de Noël, une accro, une folle dingue, ce que vous voulez, mais je suis complètement Noëlophile. Décembre est mon mois préféré de l'année. Tout le monde est joyeux, on prépare le réveillon, on pense aux cadeaux, on mange du chocolat.. aaah. Donc aujourd'hui, avec ma coloc', on a fait notre sapin. Un mètre de beauté, des boules rouges et dorées, une guirlande lumineuse en forme de flocon, de la neige en bombe et une étoile scintillante. Un seul mot me vient à l'esprit. Parfait.
( bon, il est légèrement dégarni, en plastique et des branches cassent sans raisons, mais bon..)

Le Père-Noël peut venir tranquille !


Mes partiels arrivent dans une semaine. Je pense que ça va être la plus grosse partie de rigolade de l'année ( mise à part le 21 décembre bien sur).  Mes cours ont des points d'interrogations partout parce que je ne comprends strictement rien, je n'arrive pas à voir ce que je dois réviser ou non, mes fiches sont remplies de couleurs, mais ne servent à rien parce que je ne comprends rien non plus. Enfin bref. L'année dernière, c'était facile, j'écrivais un joli article et hop, dans la poche. Cette année, ça risque d'être légèrement plus subtil et plus difficile.

Enfin, à part ça, ma vie n'est pas palpitante. Il faut juste que je pense à éteindre la chaudière demain matin. 

Je pense que la fac, ce sont trois années de pause dans la vie, où on se cherche, où on apprend à connaitre ses qualités et ses défauts, et où on ne fait rien en attendant de trouver sa voie. ( et le jour où on la trouvera, on fera un malheur !)


La phrase du jour nous vient de moi-même. Alors que nous étions, ma coloc' et moi-même, assises dans la canapé à jouer à Candy Crush, notre nouvelle passion dans la vie, j'ai, sans mon consentement, commencé à chanter, avec la voix d'Elliot le dragon, cette comptine :

" Je te tiens, tu me tiens par la barbichette "

S'ensuivit une crise de fou rire intense.


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